Chaque année, la maison Lavazza propose un calendrier artistique, autour d'un thème important pour les valeurs de la torréfaction. L'entreprise souhaite montrer au quotidien qu'elle a le souhait d'un monde meilleur, plus juste pour les hommes et pour la nature. Elle soutient les artistes et militants qui s'engagent dans une lutte quotidienne et bénéfique à tous.
La chaîne mondiale de la production à la consommation du café concerne le monde dans sa globalité. La production est faite dans les pays de la zone inter-tropicale, puis les graines sont torréfiés par les pays importateurs, qui ne sont pas forcément les pays consommateurs. Le café est la deuxième boisson la plus consommée dans le monde après l'eau. Nous sommes tous concernés dans ce processus. Et c'est à travers son impact dans cette chaîne que Lavazza souhaite faire passer des messages et révéler des prises de conscience.
Cette année, nous allons découvrir comment nous pouvons changer le monde.
6 "artivists" inspirants, 6 histoire de lumières, racontées par le grand maître vivant de la lumière : Emmanuel "chivo" Lubezki"
Grâce à chacun d'entre nous, à notre façon, nous pouvons faire de grandes choses, et même changer le monde !
"Le calendrier de cette année a comme titre "je peux changer le monde". C'est le message sous-jacent que nous nous disons au quotidien. Nous le transmettons à travers 6 militants, 6 artistes, 6 protagonistes, qui ont travaillé avec nous sur ce projet. Pour y arriver nous voulions un directeur de la photographie : Emmanuel Lubezki, pour qu'il apporte un regard différent, plus large, un regard dirigé vers les gens, leurs émotions et leurs états d'esprits.
"Je peux changer le monde" commence par une volonté de ces artistes à travers leur travail et leur vie. Ils sont eux-même interprète de ce changement. Avec leur art, ils essaient de parler de questions importantes telles que la rédemption sociale, l'activisme environnemental. Cette nouvelle conscience écologique qui doit être soutenue d'une manière ou d'une autre, est inspiré par leur action, leur talent et leur art.
Chaque militant intégré dans le projet du calendrier, a du faire face à l'environnement qui l'entoure et donc créer une relation très profonde, une harmonie. Lubezki a vraiment réussi à faire ressortir dans le projet les relations entre les individus et le lieu qui l'entoure. La nature dans ces endroits étaient vraiment unique et indescriptible.
Lavazza est le porte-parole mais aussi le protagoniste d'un changement qui lui est propre. La nouvelle culture de la durabilité est racontée à travers ce calendrier mais aussi au quotidien à travers chacun d'eux, et de leurs actions.
2022 sera une année importante de concrétisation, une année au cours de laquelle les gens devront se construire. Nous devons remodeler l'avenir. Les militants que nous avons choisis ont la capacité de parler d'eux-mêmes par leur exemple. C'est quelque chose que chacun d'entre nous pouvons réaliser, que nous devons tous comprendre."
"Le calendrier Lavazza est né depuis toujours avec un but très précis. Il s'agit de construire une prise de conscience sur la question de la durabilité et de la sensibilité environnementale. C'est ce que nous essayons de faire chaque année : orienter le calendrier vers l'avenir. Nous aimons cette tentative de toujours regarder plus loin. Nous pensons que si on peut regarder la lumière depuis l'ombre, il y a toujours de l'espoir. C'est aussi l'engagement de Lavazza de créer des valeurs qui intègrent des principes de durabilité dans le monde qui soient les plus construits et les plus profonds possibles.
Cette année le calendrier est né d'une déclaration très forte, une phrase : I can change the world. Je peux changer le monde.
L'important c'est que chacun de nous peut prendre sa responsabilité, chacun de nous peut faire quelque chose à son niveau, avec ses mains, comme le dit Ben Harper dans sa chanson.
En 2021, nous avons vécut un moment très particulier, nous avions besoin d'un style très différent. Nous voulions revenir à une unité, un thème commun, un fil rouge qui relie tous les éléments ensemble. Pour cette raison, nous avons choisi Lubezki, parce que nous avons tout de suite adoré ces films et qu'on connaissait la qualité de son approche photographique, la beauté de ses séquences, la poésie de la lumière naturelle dans son travail. Mais il a quand même réussi à nous surprendre, et il était très intéressant pour nous de comprendre le point de vue d'un réalisateur. La photographie veut dire "écrire avec la lumière", et donc qui de mieux qu'un réalisateur, aussi appelé directeur de la photographie, pourrait le faire.
Nous avons choisis 6 artistes très différents, tous très puissants de part leurs histoires personnelles et surtout pour leur représentation artistique. Pour nous ce sont de vrais militants. Ils ont mis au centre de leurs pensées, de leur activité, des recherches pour un monde durable.
Ce qui m'a le plus marqué dans le calendrier, ce sont deux passages précis. Le premier par Cristina Mittermeier, dit qu'elle est toujours surprise quand les gens demandent pourquoi nous ne sommes pas tous des militants environnementaux ? Le deuxième par Sayp, quand il dit tout simplement que notre vie correspond à la trace que nous laissons sur cette planète, et c'est à nous de décider d'agir."
"J'ai été très surpris et ému quand j'ai reçu l'appel de Lavazza, et l'invitation à faire ce calendrier. Je connaissais déjà le calendrier les années précédentes, et j'admire beaucoup le travail de la plupart des photographes qui ont déjà participé. Quand Lavazza m'a contacté, j'étais vraiment honoré et humble et en même temps assez nerveux.
C'était un énorme défi, et je voulais être sûr de sentir que je pouvais honorer les 6 artistes. Ce que j'ai pensé, c'est qu'il fallait essayé d'aborder ce défi de la façon dont j'aborderais un film. Ce projet est une sorte d'évolution de ce que je fais en tant que directeur de la photographie. vous savez quand vous faites des films, vous tournez des milliers sinon des millions d'images, mais quand vous prenez des photos, il n'y en a qu'une seule. Elle doit être expressive, elle doit raconter une histoire, elle doit révéler tous les mystères que vous souhaitez aborder, ou toutes les questions que vous voulez soulever. Il n'y a qu'une seule opportunité.
La question est : pouvons-nous sensibiliser ? Pouvons-nous montrer la beauté du monde ? Pouvons-nous, en quelque sorte, construire une communauté en montrant ces images ?
"Pouvons-nous sensibiliser ?" reste la question la plus importante. J'espère que oui ! Je pense que nous pouvons essayer de générer des prises de conscience, des changements. Ces tentatives sont nécessaires, et même si ce sont des petits grains de sable, je pense que tout ce que nous pouvons faire à ce stade est très important."